Il a fallu du temps avant que je partage ce podcast.
Non pas par pudeur (vu mon TEDx en 2018, je n’en suis plus là 😂) — mais parce que certaines histoires ont besoin de maturer en silence avant d’être offertes aux autres.
Et puis les messages ont commencé à arriver.
Des mots touchants. Des échos intimes.
Des retours auxquels je ne m’attendais pas… et qui m’ont profondément émue.
Alors si ces paroles ont pu résonner pour d’autres, c’est peut-être le bon moment pour les laisser circuler ici aussi.
Ce que vous allez entendre dans cet épisode
🎙️ Dans cet épisode du podcast Ressources, Noémie Sylberg m’a invitée à parler de constellations familiales, mais aussi de parcours, de choix, de transmission.
De ce qu’on porte en soi, sans toujours le savoir.
De ce qu’on peut transformer, avec un peu de conscience et beaucoup de présence.
De ces liens invisibles qui orientent nos trajectoires — et qu’il est parfois possible de réécrire.
Ce podcast est un espace à part. Un moment où l’on parle autrement.
Du leadership émotionnel.
De l’importance d’apprendre à se repositionner, intérieurement.
Pour vivre une vie plus juste, plus libre, plus nôtre.
Une simple phrase peut parfois tout changer
🌱 Parfois, il suffit d’une phrase. D’un échange.
D’un mot, entendu au bon moment, pour que quelque chose se déplace à l’intérieur.
Ce podcast en fait partie.
Et si vous êtes vous aussi sur un chemin de clarification, de réalignement, ou tout simplement en quête de sens, il se pourrait que certains passages vous touchent à votre tour.
Pour écouter l’épisode
🔊 « Se comprendre grâce aux constellations familiales » est disponible sur toutes les plateformes de podcast.
👉 Si l’épisode résonne pour vous, n’hésitez pas à le partager.
Certaines ressources ont besoin de rencontres pour prendre tout leur sens.
🙏 Merci encore à Noémie pour sa présence si fine, et à vous tous qui m’écrivez, m’écoutez, me lisez.
Et si vous le souhaitez : échangeons (je vous propose un échange gratuit sur ce lien)
Sur vos propres héritages invisibles, vos questions, vos intuitions.
Car parfois, ce qu’on croit trop personnel est justement ce qui nous relie le plus profondément.
Avec gratitude,
Elya